Formule 3 en 1: Stenton & Soza & Overeem = TT.

TT : Plus qu’une marque de fabrique, une identité : celle du gang des Tozz, qui a frappé fort durant les années 1980’s. Son parrain est toujours en cavale depuis maintenant 24 ans. Le champ d’activité de cette mafia s’étend du nord de la France au nord du Maroc, en passant par le sud de l’Espagne Andalouse. D’après certains informateurs – mais les dires ne sont que de simples suppositions- le parrain se cacherait en Amérique latine, à Panama, dans le village de Cochabamba. Le reste de sa famille serait en sécurité dans leur grand Riyad de Colombie, enfoui en pleine forêt et sécurisé par les FARC. Reste à confirmer.







mercredi 3 mars 2010

On disait aussi...

Malgré tout cela, je suis toujours premier de la classe, et dans le pire des cas j’arrive premier ex aequo. Il n'y a que la note finale qui m'intéresse. Pour les appréciations, mon objectifs étaient qu'elles soient le plus opposées aux notes. Je faisais tout pour foutre ma merde, tout dans le vice, ah oui, j'étais pas le bourrin de la classe! C'était ma facon de dire, que je suis ton cours de merde, je vais avoir la meilleure note de tous tes élèves, mais je suis pas content pour autant: c'est de la daube! Du coup, j'étais souvent 1er de loin et obtenait mes "avertissements conduites" tant attendus. Je méritais mieux, au moins un blâme, mais que veux tu: tu vas pas mettre un blâme au seul élève qui comprend ta merde en conserve!! Les délégués poussaient les profs à ne pas hésiter à me punir, mais en vain. Pas moyen d'avoir un renvoi, une exclusion pour "mauvais comportement". C'est pour çà que je les détestais, les délégués. Tu votes pour eux alors qu'ils te promettent de faire ce qu'il faut pour toi, et une fois élus, ils n'arrivent pas au bout des exigences que tu avais fixés avec eux. Donc, sur le bulletin, jamais surpris par mes moyennes ou mon classement, mais une petite boule au ventre quant à l'appréciation. Souvent rien, souvent déçus. Même les profs n'ont pas de couilles. Je suis leur discrimination positive de l'époque (pas sur les origines, car on avait tous la même histoire). "Mais pour une fois qu'on en as un bon, on va pas le casser tout de même?" T'aurais dû, regarde maintenant, je me moques de tout, pas de limites, depuis la primaire, je te fais du chantage, et t'es vénér parce que c'est toi qui es dépandant de moi, et pas l'inverse, pauvre de vous, amis professeurs du passé... Mes parents ne savaient biensur rien de tout cela. Pour cause, mes parents ne savaient ni lire ni écrire. Ils n’ont jamais étaient scolarisés. Ca t’étonne ? Pas moi, et parfois ça me rassure, car vu le courage de ma famille, avec un brevet en poche, mon père serait devenu président du Medef, s’il le faut.. quel trahison, non! Mais il a pas le brevet non plus. Tanpis, t'en as 4 à la maison, t'as aussi 4 bacs, 4... enfin, tout par quatre, pas d'echec sa mère: si on est là, on est là, jamais à moitié, pas de figuration... Dès lors, mon père ne comprenaient pas toujours les appréciations qui figuraient sur le bulletin de notes. Seul comptait le classement final. Mon père exigeait alors de ses 4 enfants qu’ils soient toujours premiers de la classe. Alors on l’a été, tous les quatre. Comme Chirac et Sarko, à l’époque. Lui, il expose, nous on dispose ! Mais, nous, c’est sans trahison aucune... Lorsque mon frère (très brillant aussi, mais un peu moins que moi à cette époque, car aujourd’hui, il est un de mes maîtres à penser, mais je vous en parlerai plus tard de lui, moi, je ne suis rien à côté de lui: le volume I fait souvent plus mal que le Volume II…) apportait son bulletin de notes dans lequel il arrivait deuxième, mon père ne montrait que peu d’enthousiasme. Il fallait toujours être le meilleur. Obtenir la médaille d’argent signifiait pour lui avoir râté la médaille d’or. Un conseil que je n’ai pas oublié, jamais.

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